« L’idée du projet émane du fait que nous voulons donner l’opportunité à tous les créateurs passionnés et désireux de faire valoir leurs droits dans ce milieu, de pouvoir avoir des plateformes où ils peuvent s’exprimer où ils peuvent promouvoir leurs créativités.
Nous avons décidé de faire un magazine qui va être digitalisé pour permettre à tous ceux qui veulent savoir l’actualité de l’industrie de la mode au Burkina Faso qu’ils puissent juste en un clic avoir accès à tous les contenus, à tous les créateurs.
Le projet en général, c’est un magazine et pour parfaire tout cela, on a décidé de greffer un événement au magazine », a expliqué Rita Zio, Coordonnatrice générale du projet. A long terme, a-t-elle confié, le magazine dénommé « Zio » va devenir une application dénommée « Zio » et le contenu sera uniquement dédié à la promotion des lauréats de l’événement « Perfect Light ».
L’idée de l’événement, « Perfect Light », prévu pour être organisé annuellement, c’est de pouvoir avoir la crème des créateurs, a fait savoir Rita Zio. En clair, il vise de manière générale « à ériger des marques africaines de qualité répondant aux standards internationaux à travers une promotion et une formation spécifiée afin de booster la productivité, l’employabilité et la vente des produits du secteur de la mode ».
La coupe couture mixte, la joaillerie, le prêt-à-porter industriel, la coupe couture artistique, la coiffure artistique, la coupe couture genre (coupe homme, dame et enfant), les accessoires (sac, chaussures et maroquinerie), la cosmétique (produit corporel, capillaire et parfumerie), la mise en beauté (make up artistique et make up esthétique) sont les catégories prises en compte pour la première édition de l’événement.
La particularité de l’événement, des dires de Rita Zio, c’est l’offre de formation offerte aux lauréats après chaque édition. Cela a pour objectif, dit-on, de consolider leur savoir-faire et de leur fournir les rudiments nécessaires au développement de leur activité.
