King Alfa, le jeune prince de la musique burkinabè

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Son tout premier clip « Amusement », un essai, qui fut un coup maître, en 2019. Le jeune garçon, qui chante généralement en mooré (la langue mossi), français ou anglais, évoque les problèmes sociaux sur des airs afro-beat et couper-décaler.

« Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années », dit l’adage. Allaité avec de la musique, depuis sa tendre enfance, par sa mère, qui est chanteuse traditionnelle au Burkina Faso, le jeune Alpha Ibrahim Maïga a très tôt été piqué par ce virus. Il décide de suivre les traces de sa maman et cherche à se trouver un nom d’artiste. « Pour mon nom d’artiste, maman me parlait souvent des deux extrêmes de la vie : Alpha et Oméga. Alpha étant le premier et coïncidant bien avec mon nom, j’ai juste eu à simplifier l’orthographe en Alfa. Le King ne vient que confirmer ce que je veux être. King Alfa, non pas pour dominer, mais pour bosser dur et m’affirmer », déclarait déjà le jeune artiste à ses débuts.

Pour vite se faire distinguer des autres, King Alfa a choisi de faire de l’afro-beat et du couper-décaler, des genres musicaux qui font fureur en Afrique de l’Ouest, sous l’influence de son compatriote Imilio Le Chanceux . « Ma maman fut une chanteuse traditionnelle. Je n’ai pas eu la chance de la voir prester, mais je crois que le virus m’a été transmis depuis le pacte ombilical. Je suis influencé par le chanteur burkinabé « Imilio Le Chanceux », que j’aime surtout écouter », a révélé King Alfa, qui sort son tout premier clip « Amusement », en 2019. Mais, aussi « Merci Maman », pour rendre hommage à toutes les mamans du monde.

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