Ces arbres, vieux de plus de 800 ans sont appelés renala qui signifie « mère de la forêt » en malagasy. C’est un héritage des forêts tropicales denses qui prospéreraient auparavant à Madagascar mais il ne reste plus que 10% des forêts primaires aujourd’hui.
L’allée des Baobabs n’est pas estampillée « parc national » ni « patrimoine de l’Unesco », et les arbres sont menacés.
Les ONG malgaches développent un projet d’écotourisme ayant pour but la conservation de l’endroit et l’amélioration des conditions économiques pour la communauté locale
Malgré son fort attrait touristique, ce site n’a pas de centre d’accueil des visiteurs ni de droit d’entrée et les résidents locaux ne perçoivent que très peu de revenus du tourisme.